« Face aux défis imposés par l’épidémie de Covid-19 en cette rentrée 2020, l’organisation des mobilités à l’étranger s’adapte grâce aux dispositions prises par la Commission européenne. Le programme Erasmus + offre une flexibilité accrue dans la gestion des mobilités, comme la prise en charge de frais non prévus (isolement / quarantaine, retour anticipé, annulation…) ou la possibilité de reporter certaines mobilités. »
Cette déclaration d’Erasmus France publiée la semaine dernière a de quoi rassurer ceux d’entre-vous qui ont un projet de mobilité européenne.
Evidemment, certaines destinations sont devenues plus compliquées que d’autres. C’est pourquoi, face au désistement de certains partenaires (Allemagne, Irlande, Estonie) ou à la fermeture de certains pays (la Hongrie), chaque établissement est libre d’organiser les mobilités Erasmus + avec ses partenaires européens (établissements, entreprises…) pour trouver la solution adaptée à chaque mobilité.
Une clause prévoit le rapatriement
Enfin, sachez que dans le cas d’une période d’isolement imposée à l’étranger, les établissements prévoient généralement deux options : le passage au distanciel (cours en ligne, télétravail) ou le rapatriement avec un recours à la clause de force majeure prévue par Erasmus +.