180 secondes… c’est le temps qu’auront les candidats pour convaincre le jury lors de la finale de la 11e édition du concours « Ma thèse en 180 secondes », le 5 juin prochain, à l’Opéra de Nice.
Raconter la science de façon ludique
Parmi les 600 doctorants s’étant présentés au concours, 16 ont été sélectionnés pour participer à la finale à l’Opéra de Nice. Leur défi ? Capter l’auditoire en racontant en trois minutes chrono leur sujet de thèse, de façon accessible.
Pour assister à la finale et découvrir les pitchs des 16 finalistes, il suffit de s’inscrire gratuitement sur le site dédié.
Les finalistes
- Pierre BABY de l’Université d’Avignon : Réponses physiologiques et comportementales du prédateur généraliste, Forficula pubescens (Dermaptera: Forficulidae) face à diverses contraintes biotiques et abiotiques dans une perspective de lutte biologique en vergers de pommiers ;
- Sarah BAGOT de l’Université Clermont Auvergne : Adaptations métaboliques et nutritionnelles aux variations de poids, au statut hormonal ovarien et au niveau d’activité physique ;
- Mélyne BAUDIN MARIE de Nantes Université : Synthèses d’Inhibiteurs Enzymatiques Multivalents de Sialidases pour le traitement des Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin (MICI) ;
- Anna DIET, de l’Université Clermont Auvergne : Développement et mise en œuvre d’une stratégie de recherche de métabolites bioactifs naturels, issus de matrices fromagères, efficaces contre l’arthrose ;
- Gaspard FOUGEA, de l’Université Paris-Saclay : Modèles formels pour la conscience : de l’expérience subjective aux algorithmes cognitifs ;
- Noëlla GROSSI, de l’Université Paris-Saclay : Identification de mécanismes de compensation impliqués dans la physiopathologie de la myopathie des ceintures de type R2 ;
- Bertrand KACZMAREK, de l’Université de Bourgogne : Le mythe de la neutralité carcérale. Éléments pour une culture pénitentiaire ;
- Elie KADOCHE, de Télécom Paris : Développement d’algorithmes de contrôle basés sur de l’apprentissage par renforcement multi-agents pour l’optimisation de parcs éoliens à grande échelle ;
- Thibault LAFFARGUE de l’Université de Guyane : Rôle du microbiome pour expliquer le succès des espèces envahissantes ;
- Wendy LE MOUËLLIC de l’Université de Toulouse : Caractérisation des voies d’acquisition du soufre et de la biosynthèse de cystéine de Mycobacterium tuberculosis pendant l’infection ;
- Coralie LE PICARD, de La Rochelle Université : Détection & effets des microparticules pneumatiques dans les environnements aquatiques ;
- Emma LELONG, de l’Université de Bretagne Occidentale : L’effectivité de la protection de l’écosystème marin par l’octroi d’un statut juridique : l’exemple de la mer Méditerranée ;
- Seyta LEY-NGARDIGAL, de l’Université de Bordeaux : Mécanismes moléculaires de la toxicité d’une surcharge glycémique sur la peau ;
- Aïcha LOÏAL, de l’Université des Antilles : Compréhension de la plasticité comportementale des populations d’Aedes aegypti pour améliorer la surveillance et la lutte antivectorielle ;
- Clémentine MARIE, de l’Université Paris Cité : Mécanismes d’action de l’Oestradiol dans l’ovaire humain en conditions physiologique et polykystique ;
- Ludovic VAUTHIER, de l’Université de Lorraine : Couplage de la fermentation sombre anaérobie et de la biométhanation pour la production de bio méthane.
Image : Henri Mathieu-Saint-Laurent-Pexels